Voici un manuel de traduction destiné aux soldats allemands en France pendant la Première Guerre. Démasquer un franc-tireur, se faire soigner, trouver des chevaux ou des cochons... En 1914, le soldat pouvait se procurer ce manuel pour 18 Pfennig. Et affronter ainsi la guerre en territoire français sans problème, en tous cas linguistique. Nous en proposons ici quelques extraits choisis façon Assimil. Ce manuel appartient à la collection de Jean-Charles Lyant.
<p>Aus dem Wald hoch über der Großstadt aufragend, mit merkwürdigen weißen Kuppeln aus Wabenstrukturen, sehen die Türme aus wie ein Stonehenge aus der Ära des Kalten Krieges. Die Radaranlage auf dem Teufelsberg in Berlin hatte über Jahrzehnte die Aufgabe, den Funkverkehr im Ostblock abzuhören und für den amerikanischen Geheimdienst verwertbar zu machen. Als Franzose in Berlin sieht der Autor vor allem die bizarren Seiten der heutigen Ruine: Was, fragt er sich, hört man, wenn man abhört ? V.O. du documentaire 'Teufelsberg, la grande oreille' coproduit avec Deutschlandradio Kultur.</p>
<p>Dernière halte dans le tour des saisons par le poète allemand Friedrich Hölderlin. VO et VF sont à nouveau mêlées, cette fois pour évoquer l'hiver.</p>
<p>Friedrich Hölderlin, poète allemand et fou, a écrit sur les saisons. Après le Printemps et l'Eté, ARTE Radio vous offre une lecture VO/ VF de l'Automne. Romantisch.</p>
<p>Le poète allemand Friedrich Hölderlin (1770-1843) était sérieusement fêlé de la cafetière à la fin de sa vie. Cela ne l'a pas empêché d'écrire de très beaux textes, comme l'Eté, ici en VO et en VF. ARTE Radio, la première radio qui sous-titre le son.</p>
<p>Friedrich Hölderlin (1770-1843), comme son nom l'indique, est un poète allemand sensible et émotif. Un amour malheureux l'a fait lentement sombrer dans la folie. Le Printemps fait partie de ses derniers textes, rédigés alors qu'il était déjà sérieusement siphonné. C'est très beau. Quatre saisons poétiques en version bilingue.</p>
Quelle langue parle la poésie ?
ARTE Radio joue avec la version originale et la traduction d'un poème de Paul Celan (1920-1970).
''Corona'', extrait du recueil ''Pavot et mémoire'' - traduit de l'allemand par Valérie Briet (éditions Christian Bourgois).