Tout fout le camp (1/4) : On est toujours le jeune de quelqu'un
Une création deManon Prigent
Les jeunes d'aujourd’hui écoutent ceux d’hier
Épisode 2
Tout fout le camp (2/4) : L’âge d’o...
Enregistrements
février, juin 2020
Prises de son, texte et montage
Manon Prigent
Réalisation, mixage et musique originale
Charlie Marcelet
Archives INA
1938—2008
Illustration
Alice Meteignier
Production
ARTE Radio et INA
Un groupe d’adolescents de 15 à 18 ans découvre avec stupéfaction et humour, les pépites des archives de l’INA sur les jeunes. Que produit cette rencontre avec leurs alter-egos des années 60, 70, 80 ?
Dans ce premier épisode, en s’amusant, s’émouvant, se questionnant, ils en viennent à comprendre comment chaque époque imprime sur le langage une marque particulière.
Tout fout le camp
Pourquoi a-t-on toujours l’impression que les gens parlaient mieux avant ? Et pourquoi ce sont toujours les jeunes qui « parlent mal » ? Des blousons noirs aux rappers, de « astap » à « wesh gros », une histoire ludique du langage des jeunes pour savoir, si, vraiment, tout fout le camp. Lauréate de la bourse INALAB 2019, Manon Prigent s’appuie sur les trésors des archives audiovisuelles de l’INA pour tendre son micro aux principaux intéressés, les jeunes d’aujourd’hui, avec le renfort de quelques spécialistes du langage.
Une coproduction INA-ARTE Radio.
Manon Prigent
Après une formation en lettres et en arts visuels, puis un passage dans diverses institutions d’art contemporain, Manon Prigent s’initie en 2018 à la prise de son et à la réalisation de documentaires. Elle entame alors ses premières collaborations avec ARTE Radio et France Culture.
Avec : Aliocha, Ben Mohammed, Héloïse, Léonore, Mourad, Nathan, Sana, Toumany, Victoria, Yanis.
Archives INA : Extraits des émissions Qu’en pense la jeunesse, Radioscopie, Le Chemin des Ecoliers, Le Cahier à Spirales, Nuits Magnétiques.
Musique additionnelle (archive INA) : Daniel Teruggi, concert du 12/12/1998
Remerciements : Anne-Lise Alexis, Judith Chalier, Pauline Maucort, Romain Poulet, Mathias Théry, Elsa Vettier. Merci également au Centre d’animation Louis Lumière (Paris), à la Médiathèque Assia Djebbar (Paris) et au Lycée Eugène Delacroix (Drancy).